Parkinson et symbolisme
Qu’est ce que c’est?
La maladie de Parkinson est une maladie neurologique chronique dégénérative affectant le système nerveux central. Elle est responsable de troubles essentiellement moteurs.
Les symptômes caractéristiques de cette maladie associent, dans des proportions variables: tremblement, rigidité et troubles complexes de la motricité volontaire et involontaire; le visage est figé, la tête est inclinée en avant, la parole est modifiée, le timbre de la voix devient sourd et de plus en plus faible; l’écriture est affectée et tous les gestes de la vie courante sont effectués avec lenteur.
Les hommes en sont davantage atteints.
Cette pathologie est due à la destruction progressive des neurones situés dans une région spécifique du cerveau, la substance noire (locus niger). Le locus niger intervient notamment dans le mouvement et la régulation du mouvement. Cette atteinte du locus niger entraîne la sécrétion insuffisante d’une hormone : la dopamine.
A quoi sert la dopamine ?
La dopamine est un neurotransmetteur indispensable au contrôle des mouvements du corps, en particulier les mouvements automatiques (par exemple les expressions du visage). La disparition de ces neurones provoque ainsi un déficit en dopamine dans le cerveau obligeant dorénavant le/la malade à penser ses mouvements alors qu’ils étaient autrefois réalisés automatiquement.
La dopamine est aussi un neurotransmetteur qui est impliqué dans la motivation, ce qui peut expliquer parfois des situations d’apathie ou de désintérêt général.
La dopamine joue aussi un rôle dans l’apprentissage et la mémorisation.
La maladie de Parkinson est une maladie neurologique dégénérative complexe. Ses symptômes diffèrent d’une personne à une autre.
Mais surtout, la dopamine est décrite comme l’hormone de la récompense, de la satisfaction et du plaisir. C’est elle qui donne envie de recommencer quelque chose qui nous a plu, de cette manière, elle entre dans le processus de mémorisation et d’apprentissage.
De plus, en nous amenant à refaire les choses qui nous ont plu, elle est au centre de la physiologie de la majorité des addictions et des dépendances.
Fatigue et autres signes non-moteurs
La maladie de Parkinson se manifeste par différents signes non moteurs tels que la fatigue, les douleurs et les troubles intestinaux.
- La fatigue,
- Les troubles du sommeil
- La somnolence diurne
- Les troubles de la sexualité
- Les douleurs
- Les troubles digestifs
- Les troubles urinaires
- L’hyperémotivité et le stress
- L’anxiété
- La dépression
- L’apathie
ÉTYMOLOGIE
Bien sûr, le nom de la maladie vient du nom de celui qui l’a « découverte », qui le premier l’a décrite. Parkinson étant un nom anglophone, intéressons-nous au verbe « to park », qui veut dire « parquer ».
Pour une personne, être parquée, c’est se retrouver placée, enfermée dans un espace étroit et délimité : « être parqué comme du bétail », dit-on. La maladie de Parkinson touchera donc en priorité celles et ceux qui se retrouvent enfermés dans un emploi, une situation, un état, une fonction.
Le mot français « Parque » désigne chacune des trois déesses (Clotho, Lachésis et Atropos) qui filent, dévident et tranchent le fil des vies humaines, représentant par métaphore la vie et la mort, la destinée. Comme si la maladie de Parkinson était une façon choisie inconsciemment par certains pour rester entre les deux, une hésitation face au destin qui nous entraîne inéluctablement vers l’accomplissement parfait de notre existence même au-delà de la mort. Tout dépend de nos croyances. Et si la mort n’était pas la fin ?
L’écoute du verbe
Parkinson = parking / sonne = l’heure du parking sonne. Il est temps de ranger son engin et de prendre sa retraite et c’est un moment crucial de la vie qui peut constituer un conflit déclenchant pour beaucoup de personnes, par exemple si on est pape ou roi, des fonctions pour lesquelles la retraite n’est pas prévue et qui s’éteignent avec la mort.
Parkinson = par / qui / ne / sonne. A qui a-t-on sonné les cloches ? N’y a-t-il pas une mémoire dramatique liée à un son de cloche ou de sonnette ? Quel est le son que le fils (« son » en anglais) ne veut pas entendre ? Pour qui sonne le glas ? D’où une peur pour le futur, de ne plus vivre, et on ne finit pas les choses, car à quoi bon… Ou on accomplit sans cesse le geste qui prouve qu’on est en vie : secouer la personne pour la faire revivre.
Le sens biologique
La maladie de Parkinson est l’expression d’une double contrainte motrice avec impuissance, alternant les phases actives et les phases de guérison, avec des séquences en boucle. Les tremblements apparaissent après la solution du conflit mais on ne va pas jusqu’au bout et c’est la récidive, d’où aggravation progressive des symptômes. La solution parfaite est de faire le geste qui n’a pas pu être fait, le faire jusqu’au bout. Tout dépend des symptômes du malade et des gestes précis qu’il fait au cours de sa maladie : cela sera le guide du travail de décodage pour trouver le geste qui n’a pas été totalement accompli et débloquer le mouvement qui est resté bloqué (toute la vie).
En général, il s’agit d’une envie interdite avec peur de la peine, de la punition. La main qui va bouger dans l’acte répréhensible qu’on ne veut pas. Ou du conflit de devoir faire le mouvement qu’on ne veut pas (viol, vol, IVG, masturbation,…). On est pris entre deux feux : l’intention et la raison. C’est une maladie typique du vieux couple où le geste se fait de trop. Par exemple, la femme fait le geste de retenir son mari alors qu’il est en train de mourir – elle veut à la fois le tenir et le retenir et elle ne peut faire ni l’un ni l’autre –
le geste se fait malgré l’inutilité et, par peur du jugement des autres, elle arrête le mouvement et ne va pas jusqu’au bout. « Cela ne vaut pas la peine. »
Il y a aussi souvent une peur de perdre le contrôle qui est à l’origine de cette insécurité et cette impuissance à aller de l’avant, la mémoire d’un pouvoir que l’on n’a pas pu exercer. Peur de perdre le contrôle sur les autres si je vais au bout du geste. Ou plus encore peur de perdre le contrôle sur moi-même et de commettre une faute irréparable. Or la maladie elle-même, par ses symptômes au cours desquels on ne peut plus contrôler ses gestes, pourra constituer un conflit verrouillant, réactivant sans cesse le drame du patient (de plus en plus impatient).
Lors de tremblements transversaux ou latéraux, on cherchera plus particulièrement ce qu’on voulait rattraper ou repousser. Qui ou que n’ai-je pu attraper, ce qui a entraîné la mort ? C’est le conflit du bras qui n’a servi à rien. Ou alors c’est le pied qui n’a pu avancer. A qui n’ai-je pas pu donner un bon coup de pied ? Ne serait-il pas temps d’affronter sa peur, et aucune peur n’était aussi terrifiante que celle-là, pour aller enfin au bout du mouvement et se libérer de ses aspirations contradictoires qui sont bloquées.
SOURCE: https://www.neosante.eu/la-maladie-de-parkinson/
Signification
La maladie de Parkinson atteint des personnes qui toute leur vie ont subi sans se révolter, ont fait ce qu’on leur a dit de faire, comment et quand !
Cette maladie se manifeste en général chez la personne qui a peur de ne pas pouvoir retenir quelqu’un ou quelque chose. C’est pourquoi la maladie commence par les mains. La personne affectée par cette maladie est une personne rigide qui s’est elle-même beaucoup retenue depuis longtemps pour cacher sa sensibilité, sa vulnérabilité, son anxiété et ses peurs, surtout lorsqu’elle est indécise.
Elle a beaucoup voulu tout contrôler et maintenant sa maladie lui dit qu’elle en est arrivée à ses limites et qu’elle ne peut plus tout contrôler, pour elle-même et pour les autres.
Son système nerveux est fatigué de vivre toute cette tension intérieure qu’elle s’est créée en gardant tout caché.
Une autre interprétation
Si la dopamine est connue pour ses liens avec le plaisir, la récompense, l’apprentissage etc… elle est moins connue pour ce qui est pourtant sa fonction première : inhiber la prolactine.
Nous pouvons donc comprendre autrement le parkinson grâce à la prolactine.
La prolactine est l’hormone qui permet la lactation. Elle parle du lien mère-enfant en permettant à la mère de répondre aux besoins de son enfant. La prolactine agit également au niveau du désir de la femme en l’inhibant. C’est pourquoi il est normal de voir une baisse de la libido chez les femmes qui allaitent.
Dans le Parkinson, il y a une limitation de la sécrétion de dopamine. En enlevant la dopamine, c’est donc comme si, inconsciemment, nous cherchions à augmenter la prolactine. Nous pouvons donc voir la personne atteinte de parkinson comme cherchant, inconsciemment, à créer ou à renforcer le lien parent-enfant.
Nous pouvons donc chercher dans sa mémoire des blessures liées à une mère qui s’est plus occupée de ses propres désirs (puisque la prolactine enlève le désir) que des besoins de son enfant (puisque cela augmente la lactation). Nous parlons de la mère mais, par extension, cela peut être en lien avec un des parents.
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« Je n’ai pas eu de maman car elle a du (ou préféré) répondre à ses envies / pulsions / besoins au lieu de répondre aux miens »
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Mémoire d’absence de maman
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Séparation mère-enfant dramatique (ou parent-enfant dramatique)
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« Mes parents se sont plus occupés de leurs désirs que de mes besoins ».
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Activité, action ou pulsion qui a coupé le lien parent-enfant.
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Mémoire de tromperie
La relation parent-enfant peut également être vue dans l’autre sens, c’est-à-dire de la personne atteinte vers ses propres enfants. Nos pouvons donc ainsi chercher :
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Un sentiment de ne plus être utile pour ses enfants,
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Un désir de créer, de recréer ou de raviver le lien parent-enfant
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Un désir de créer et recréer ou de raviver un lien entre une mère et son enfant.
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Pouvoir répondre aux besoins de son enfant.
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La culpabilité de ne pas s’être suffisamment occupé d’un de ses enfants.
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La culpabilité de ne pas avoir réussi à plus aider un de ses enfants.
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La culpabilité d’avoir privilégié ses envies au détriment d’un de ses enfants.
La dopamine étant l’hormone en jeu dans les dépendances et addictions, cette réflexion sur le parkinson, peut donc être intéressante à étudier chez les personnes se sentant sous l’emprise d’une drogue (physique, émotionnelle etc…)
Additifs à bannir en cas de Parkinson
Les additifs alimentaires sont aujourd’hui bien trop présents dans les aliments industriels. Pour garantir un certain goût, une couleur faussement authentique et une conservation longue durée, les sociétés agro-alimentaires n’hésitent plus à nous rendre malades. À bannir : la famille des E, dont le E173 (colorant) ou encore le E621, le glutamate de sodium.
Certains facteurs environnementaux, telle l’exposition aux pesticides, font partie des causes étudiées de la maladie. Les agriculteurs constituent d’ailleurs une catégorie à risques. Les organochlorés sont une fois de plus mis en cause, mais d’autres facteurs d’exposition augmenteraient également les risques.
Pour aller plus loin :
https://www.alternativesante.fr/parkinson/parkinson-nos-emotions-mises-en-avant
https://www.lessymboles.com/wp-content/uploads/2015/09/ITW-Olivier-Soulier-parkinson.pdf
Dans cet article : http://www.alain-scohy.com/maladie-de-parkinson.html
Voici sa conclusion :
Aujourd’hui, je voudrais mettre en garde les malades parkinsoniens. Il faudrait tout essayer – et surtout : sortir, faire du sport, essayer de comprendre et de désamorcer le conflit psychologique à l’origine du mal – mais ne pas se laisser embarquer dans la cure de L-Dopa.
Tous les neurotransmetteurs sont des drogues lourdes, au même titre que l’héroïne.
Décodage-du-parkinson par Thibault Fortuner
https://www.neurosciences.asso.fr/wp-content/uploads/2017/12/LET53.pdf
Vraiment cette vidéo m’a le plus parlé par Thierry Casasnovas
Pour aller aussi dans le sens de Thierry, vous pouvez aussi lire cet article: https://www.lessymboles.com/parkinson-du-nouveau/
Les dernières découvertes montrent que beaucoup de maladies dites dégénératives ont un facteur infectieux à leur origine.
C’est le cas de l’autisme, de la maladie d’Alzheimer, ainsi que les dépressions, les sciatiques, et maintenant le Parkinson.
Le facteur microbien a plusieurs niveaux ou plusieurs tailles. Bactéries, virus, mais aussi prions, qui sont des agents infectieux sous forme de simple molécule protéique. C’est le cas de la maladie d’Alzheimer, et maintenant du Parkinson.